Le Divin 180, c'est le basculement total de ton point d'observation.
C'est aussi l'opposition. L'inconcevable donc. Ce qui est hors du champ de ta conscience. L'inimaginable. Le [Maître].
C'est aussi l'enseignant et la Vie. La vie tu vas le voir, la tienne, le divin 180 la bascule totalement. Comme un basculement des pôles. Avec tous les raz de marées associés et autres bouleversements internes et externes.
Le 180 c'est l'inversé. Celui ou celle qui agit à l'opposé de ce que l'on aurait cru ou attendu de lui. Le 180 c'est le rebelle ! Celui qui n'accepte pas les vérités toutes prédigérées. Celui, celle, capable de tout remettre en cause de son acquis, de ses croyances, de ses concepts, de ses capacités, de sa vie pour après un demi tour giratoire de conscience, exprimer, incarner et vivre l'opposé d'avant le basculement. Le retournement Divin. Le Saint demi tour. Tu marchais d'avant en arrière, maintenant tu vas marcher d'arrière en avant.

Tu veux un exemple ?
• T'étais une conne, tu deviens une meuf bien.
• T'étais une camée, tu deviens une hors game.
• Tu croyais impossible de vivre plus d'une journée sans boire, et ça fait deux jours que tu ne bois pas.
• Tu croyais impossible de vivre plus d'une journée sans manger, et tu viens de jeûner 3 jours. Bon t'abuses pas au début, demain tu remanges. Doucement.
• Tu croyais impossible de vivre plus d'une journée sans ton portable, et là depuis que tu l'as paumé, tu survis toujours. Et d'ailleurs comment faisais-tu il y a juste 12 ans ?
• Tu croyais impossible de vivre plus d'une journée sans ta télé, depuis qu'elle a pétée t'es bien obligée de constater (contre ta dépendance) que tu restes en vie. En morceaux, mais en vie.
• Tu croyais que jamais tu ne pourrais jeûner plus de trois jours, et là avec ta copine vous venez de faire une semaine.
• Ce mec là tu le haïssais, et il est devenu le père de tes enfants.
Le Frère 180. D'un point à son opposé. D'un bout de la courbe à l'autre.
• Tu te croyais mortelle, et tu te découvres immortelle.
• Tu croyais que tu avais besoin de manger pour vivre, survivre, et là ça fait 15 jours que t'as rien mangé ni bu.
• Tu croyais que le karma c'était des conneries, et là tu viens de te brouter en pleine gueule sept retours karmiques, que tu sais sanocundoutposib, et sanlombrd1dout que ce sont les conséquences de tes actions précédentes.

Ça va t'obliger à réévaluer ta vie. Ce que tu crois. Ce à quoi tu crois. Parce que là, tu sais en ligne directe que tu as tout faux. Au sujet du karma. Avant tu n'y croyais pas, ça n'existait pas à tes yeux. T'avais bien entendu parler, mais c'était lointain, et comme t'y croyais pas, et bien ça n'existait effectivement pas dans ta vie. Là donc brusquement c'est venu à ta conscience que si, ça existe. C'est réel. C'est vrai. C'est akashiquement vrai. Zob !
Bon alors comme t'es pas trop conne comme meuf, du coup tu changes. Forcément. Tu t'adaptes à la nouvelle norme. À la nouvelle donne. Tu changes les actes de ta vie en accord avec le nouveau concept. Très vite tu constates que oui ça fonctionne. Joder. Ça a complètement changé ton regard et tes actions. Et celles des autres. Maintenant tu fais gaffes aux actions que tu crées. Aux actes que tu poses. Tu sais maintenant à quelle vitesse ça te peut te revenir dans les dents. Alors tu fais attention à ce que tu sèmes.
Tu as été la bienheureuse victime d'un Divin 180°. Tu as subi l'enseignement du Divin Maître, le 180, par le fourneau de la vie elle même.

Le 180 est ainsi fait que toujours il décoiffe ! Il est d'essence Uranienne n'oublie pas. Il fait faire un demi tour instantané aux mondes créés et incréés. Ainsi ta planète bascule sur axe, du nord au sud, de même que ta conscience bascule sur le sien. Tu vois, crois, adhères désormais à l'opposé de ce que tu affirmais avant.

• Ainsi tu avais peur de l'âme hors et la prenais comme une fin irréversible et tu la découvres juste comme un passage, une nouvelle naissance, une étape de plus vers qui Tu es.
• Tu te croyais mortelle et tu te découvres immortelle.
• Tu te croyais incapable de pardon, et tu viens juste de te pardonner.
• Tu pensais que jamais tu ne pourrais nager, et tu viens de faire tes premières brasses dans la piscine.
• Tu haïssais les enfants et maintenant tu en es amoureuse d'un.
• Tu pensais que jamais tu ne pourrais vivre sans joober, t'esclavagiser, et voilà 5 ans que tu peins juste pour toi. Ton âme. Ton renouveau.
• Tu te croyais incapable d'aller en Inde seule. Et de fait tu l'étais. Mais un jour tu as basculé et tu y es allée. Tu as donc vu que c'était possible. Et tu en es revenue.Vivante. Tu as affronté là une de tes plus grosses peurs.

Le 180 c'est cela. Te mettre face à ta peur. La regarder là, face à toi dans le cercle. Au plus loin de toi. Là où la courbe de ta sphère semble se perdre à l'horizon de ta conscience. A ce qui semble le plus éloigné, le plus dégagé de toi. Le plus inaccessible. Là bas. En face. L'autre. Le différent. Opposé mais pourtant complémentaire.
Comment une telle chose est elle possible ? Opposé mais complémentaire ? Deux contradictions face à face qui finissent par s'épouser pour ne devenir qu'une.
Bon tu es donc face à ta peur là ! Finalement. Por fin. Tu as accepté après bien des détours et des vies de te retrouver face à elle. Ta peur, ta phobie, ton risque, ton cauchemar, ta réalité. Tu trembles de l'ego jusqu'aux poils. Dressés. Comme le chien. Chair poulée. T'affrontes ta plus grande trouille. T'affrontes l'inconcevable.
Y'a plus de retour possible en arrière maintenant. Tu viens juste de sortir de l'avion à Delhi. C'est trop tard. C'est maintenant que ça se passe... Bienvenue dans le piège de la gueule...
Ainsi le 180 c'est aussi ça. Te mettre face à tes plus absurdes oppositions. Celles qui semblent être si loin de qui tu crois être. L'inconnu, l'étranger, l'en face.

Tu es donc face à ta peur. Trouillant total consume. Tu sues. Tu trembles. T'as trop chaud. Tu cailles, ki k'a éteint le soleil ? T'as la chair de poule. T'as l'estomac noué. Un bloc. T'angoisses total. Ta vie s'arrête là. Maintenant... De gré ou de force finalement tu l'affrontes. Elle est en face. En 180. Face à face. Là où tout ne peut plus que basculer. Pour toi, dans le vide.... et tu fais un pas... non deux. Tu oses deux pas. Et tu les mènes jusqu'au bout. Chancelante. Jusqu'au bout du 2ème. Puis tu amorces un troisième. Et tu boucles ta trinité. Et un quatrième....
Au 282ème tu es hors de l'aéroport. Toujours vivante... Un souffle t'est revenu. Tu avances encore et encore. Finalement prise par "mettre un pas devant l'autre coûte que coûte", tu en oublies d'avoir peur. Tu alignes les pas, valeureusement. Ainsi, sans bien t'en rendre compte, concentrée que tu es sur l'obligation de soutenir tes pas, ton corps, tu es sortie de ta zone rouge, ta zone dangereuse, ta zone "morte de trouille". Tu es sortie de ta peur. Tu ne t'en rendras compte que plus tard. Pas sur le moment. Sur le moment t'es tétanisée. Tout ton corps, ton ego, ton mental sont crispés. Trouillés. Plus tard, tu constates. T'es toujours vivante. Tes tremblements se sont calmés. Tu expires de nouveau. Ton ventre se relâche. C'était pas si terrible après tout ! Que tu te dis. Bon pas toujours. Tu te dis pas toujours ça. Mais souvent. Souvent ta peur était bien plus grosse que toi. Bien trop gonflée par ton ego séparateur. T'as toujours eu les yeux plus gros que le ventre...

La réalité c'est que ta peur s'est effacée. T'as fait face, et elle, elle s'est effacée. Effacée en face. Tu vois ? En face d'effacée.
Ce que tu peux voir ici, c'est l'enseignement sacré :
- Lorsque tu fais face, ça s'efface. S'efface en face. Ta peur s'efface. Lorsque tu affrontes ta peur, ta plus grande trouille, tu constates que celle ci s'est dissoute, disparue. Nettoyée, effacée.
- Qu'ainsi est l'enseignement du 180. Il produit le miracle de l'impossible. Donc du possible. Rappelle toi, tu croyais réellement impossible d'aller en Inde seule. Cette peur qui t'a barratée le ventre, pour ensuite te lâcher, tu te rends compte qu'elle n'existait pas. Comment aurait elle pu ? Que c'est toi et uniquement toi qui la maintenais en vie par ta préhension en elle. C'est toi qui la nourrissais, la transportais, l'hébergeais. En toi. Que tu étais donc l'artisane de ton propre malheur.

Le 180 c'est cette clé magique qui vient t'enseigner directos à domicile. En tous temps de toutes époques, peu importe la forme incarnatoire que tu revêts, elle saura toujours te joindre au juste moment à la juste place. The right time at the right place. Et ce Divin là reviendra autant de fois que nécessaire.
Le basculement de la terre sur son axe il y a moins 9 200 ans et moins 80 000 ans n'a pas suffit ? Besoin de complément d'informations ? A priori nous ne serions pas loin de cette remise à jour, nouveau 180 terrestre. En l'espace de trois jours (même pas une fraction de poussière de seconde à l'échelle temporelle de la planète), peut être moins, la planète basculera de nouveau du nord au sud. Du sud au nord. Et après toutes les folies que ça déclenchera tu verras (si tu es toujours là) de nouveau le soleil se lever à l'ouest de ton horizon. Ton point d'observation sera changé. L'inconcevable sera arrivé. Tu sauras maintenant que c'est possible. Que le Ciel, que la Terre, peuvent se fâcher et s'ébrouer comme tu t'ébroues toi même pour te libérer de tes miasmes.

Le 180 c'est l'opposé de tout ce que tu croyais. De tous les impossibles que tu te traînes. T'alourdies...
• Tu croyais le mariage une institution obligatoire et indispensable à ta vie. Tu vois maintenant que ce n'est qu'une chaîne de plus construite pour t'asservir, te contrôler.
• Tu croyais aveuglement au bon dieu comme ton cureton t'avait obligé d'y croire, et là tu sais sanocundoutposibl (tu viens de te faire un nde) que c'est un immense ramassis de conneries, mensonges, tricheries, manip...
• Tu te croyais [ombrivore], et là tu te découvre [lumivore].
• Tu pensais que tu ne pouvais pas jouir seule, que de te masturber c'était pécher, que jamais tu ne t'abaisserais à ça, et là tu as essayée et ma foi ça l'a super bien fait. Tu vois le décalage entre ce qui est, et ce que tu voulais croire qui n'était pas.
• Tu te croyais homosexuelle à vie (tu as eu une blessure à l'homme très tôt dans ton enfance. Comme c'était traumatisant tu as oublié), tu te découvres raide dingue de celui là.
• Tu croyais la terre plate et tu contemples effarée des photos où tu vois bien qu'elle est sphérique.
• Tu la croyais pleine, et bordel là, oui là, sur la projection holographique, tu la vois trouée aux pôles nord et sud, évasée à l'intérieur. T'approches ton museau émerveillée et tu découvres un petit soleil à l'intérieur (quesqu'il est mimi tu l'adores instantanément !), des mers, des lacs, des montagnes, des végétations, des animaux (non ?) et là, oui là, impossible ! Une maison, un village, bordel qu'il est beau, et, rahhh! Là ! Des entités de formes humaines ! Chit de zob quesqu'ils sont beaux ! Bordel comment qu'une telle chose est-elle possible ? Comment a t'on pu te mentir à ce point ? Tu te pinces, aille ! Oui tu es bien dans la maya, c'est à dire le rêve, l'aborigène, le cauchemar terrestre. Non tu ne délires pas, t'as pas fumé aujourd'hui, elle est bien creuse. Ça va foutre le bordel dans ta vie ça...
Avant tu la croyais plate, mais maintenant qu'elle est ronde ça ouvre d'autres horizons. Tu vas pouvoir en faire le tour par exemple.... Puisqu'elle est comme une boule. Et pourquoi une boule ? Quesque ça veut dire ça, la boule, le rond, le cercle, le O ? C'est quoi la géométrie sacrée derrière tout ça ?
Ainsi qu'elle est creuse ? Et habitée. Shit ! Mais ça remet tout en cause ça....
• Tu croyais que les planètes tournaient autour de la Terre, que tu étais le centre du monde, et tu viens de découvrir, de conscientiser que c'est toi qui tournes autour du Soleil, lui même tournant autour du centre de la Galaxie. Bordel mais c'est pas ce qu'on m'a programmée à l'école ça !
• Tu te croyais perdue dans la forêt mais en fait c'est la forêt qui s'est perdue dans toi.
• Tu croyais que t'allais quitter ton corps à ta mort (tu crois à la réincarnation), mais en fait c'est ton corps qui te quittera à ce moment là.
• Tu croyais que ton gouverne&ment n'agissait que pour ton bien. Quel bien ? Celui d'adam. Ben oui celui d'adam, mais tu ne savais pas. Et là tu découvre terrassée (et tu peux l'être) toutes les saloperies qu'il fait (ton gouverne&ment) dans ton dos, sans ton accord, dans le plus complet secret. Contre Toi. Tu découvres même, horrifiée (et tu peux l'être, tu peux l'être...) que tout est organisé, planifié pour te serrer de plus en plus les fers aux pieds, pour que tu redeviennes ce que tu n'aurais jamais du cesser d'être : une a-dame.
• Tu croyais que les vaccins c'était pour sauver des vies ? Et là tu découvres (Je ne te dis pas comment t'es lorsque tu découvres cette réalité. Tu le verras bien par toi même) que non, c'est pour faire du fric, contrôler les gens, ou les rendre malades, ou les tuer. Du pas glop...
• Tu croyais que la bouffe que t'achètes partout c'était le meilleur que ta civilisation de pamour pouvait t'offrir. Et tu découvres, dépassée, que non c'est contaminé, abîmé, merdé, fricqué, tout ceci volontairement pour mieux t'affaiblir, te contrôler. La bouffe c'est le nerf de la guerre. Qui contrôle la bouffstifaille contrôle tout. Comme en plus t'es persuadée d'avoir besoin de manger, de tuer pour vivre, survivre, t'es mal barrée sur cette voie...
• Tu te croyais seule dans l'univers et tu découvres effarée toutes ces soucoupes, tous ces vaisseaux, toutes ces [civilisations extranéennes], toutes ces avancées technologiques et spirituelles. T'en tombes tellement sur le cul que tu te le fractures !
• T'as toujours cru que la pisse c'était sale, beurk, pas bon, caca, tabou, t'y touches pas.

- Pourtant y'en a qui la boive.
- No me digas !
- Oui ça s'appelle [Amaroli] et c'est une technique extrêmement réputée dans les voies de lumière. Très âgée aussi qui se perd dans la nuit des temps de la nébuleuse origine du Yoga. C'est une voie d'initié. À traiter avec respect et amour. Conscience...
- Nan j'te crois pas ! Boire sa pisse ! !! Tu me jokes là ? Jamais je ne pourrais...

Voilà tu vois ? Comme ça. T'imagines même pas que ce soit possible ! Encore moins que ça te soit possible ! Et donc de fait ça ne l'est effectivement pas. Ce qui n'empêche pas d'autre de bénéficier de ses incroyables bienfaits thérapeutiques. En Inde par exemple, beaucoup pratique amaroli. Bon ! Ça ne veut pas dire qu'il y a tant d'initiés là bas. Ne mélangeons pas. Là bas la mémoire de ce remède a moins été persécutée qu'en Europe. Voilà pourquoi ils moins oublié comment faire...
Donc tu croyais impossible de te guérir en pratiquant Shivambu, et là tu viens pourtant d'exterminer toutes tes cellules cancéreuses en un mois et demi de jeune Amarolien. Ça change des points d'observation plus réfractaires, ce type d'expérience... Ça bouleverse ta vie et tes croyances. Tes dogmes et tes concepts. Ton éducation et tes attachements mentaux.
Comme je te le disais. De beurk à je me suis sauvé la vie avec ça, si ce n'est pas un Divin Basculement, quesque c'est ? Après le basculement tu te retrouves à savoir vrai, ce que tu acceptais de croire faux auparavant.

Le 180, c'est le basculement de 180° de ta conscience, ta connaissance, ton concept à propos d'une chose que tu crois. Et qui de fait, existe dans ta vie comme tu as choisi d'y croire. Ainsi si tu crois que le karma ça n'existe pas, effectivement pour toi, ça n'existera pas. Tu es aveugle à son action, à sa présence, ses conséquences, son origine (la cause : toi). Tu es sourde à toutes ces sources d'enseignements. D'améliorations. De corrections. De rectifications. Le karma ça ne l'empêche pas d'exister, lui. Peu importe que tu croies ou non en sa réalité. Il est une des clés géométriques de la divine création, un code génétique, personne ne peut lui ôter la vie. C'est solide comme les annales Akashiques, ça s'emboîte utilisant les divines règles créatrices holomorphiques comme les pièces d'un puzzle quintodimensionnel. 

Le 180 est une valeur à trois niveaux. Un nombrconcept marqué par le 3. Trois niveaux de conscience imbriqués.
₪ Le 1 c'est toi, l'Unique isolée, perdue et manipulée. L'adame. C'est l'ego, le séparé, celui qui se croit tout seul. Un. C'est toi avant le passage par le 8.
Si tu piques le I (1) en son centre et que tu le bascules de 180° il redevient pareil. Un. Apparemment pareil mais pourtant complètement différent.

Il y a donc deux couches dans le I.
La première, tu es cett'une totalement isolée, manipulée, trompée, utilisée, adamisée. Tu te crois séparée, et de fait dans ta vie (ta création) tu l'es. Tu te conceptualises donc seule, coupée de tout ce qui t'entoure, en peur de tout. L'étranger. Tu as mille armes derrière ta porte d'entrée pour te protéger des dangers de ce monde. Monde de stcharbés. Tu as peur, tu vis dans la peur. Tu es séparée.
La seconde, c'est la face de l'Unique. Tu es l'Unique. Tu es à la fois parcelle infinitésimale, comme unique, et en même temps la Totalité de Tout ce qui existe, a existé, existera, n'existera pas, n'a pas existé, n'existera jamais. Tu es ce Une.

₪ Le 8, c'est le 180, c'est le basculement de 180° de ta conscience, ta connaissance, ton concept. Il est vertical, parce qu'il agit dans l'instantanéité. Fulgurant comme l'éclair, sous la maîtrise d'Uranus, il te tombe sur les épaules, le cœur et le corps, la conscience et l'amour, sans prévenir. Dans la seconde ! N'importe quelle seconde de ton immense vie peut lui servir de porte d'entrée. De porte de manifestation. De porte de réalisation. Tu bascules donc du haut vers le bas et te retrouves la tête couronnée de la planète et les orteils dans les étoiles. Qui sont tes vraies racines. Tu te retrouves ainsi : 8. Le haut est en bas et le bas en haut. Tout semble pareil, c'est toujours toi, ton corps, ta vie, ton œuvre, mais à l'intérieur, ce n'est plus le même regard. C'est un regard basculé qui t'anime désormais. D'ailleurs c'est confirmé par le soleil qui se lève de l'autre coté... Le huit est le second chiffre que si tu le piques en son centre et que tu le fais tourner, basculer il se remet apparemment à la même place 8. Apparemment. Parce qu'en réalité sa tête est devenue ses pieds et sépiésatêt. Changement radical de point d'observation.
Et vois comme k'il est sacré et enseignant ce chiffre. Si tu l'arrêtes dans son basculement au quart (90° ou 270°), il devient l'infini ∞, c'est à dire le mouvement même de la vie, des cellules, du prana. Sans limite et sans stop. Sans commencement ni fin.

Il y a quatre couches dans le 8.
Piqué en son centre il bascule. D'un monde à l'autre, d'une réalité à l'autre. C'est pourquoi tu le retrouves souvent entourant les mandalas ou les yantras avec ses huit portes et toute sa symbolique.
Les deux premières couches, dans l'axe vertical, te bascule d'un têtopié et d'un piéàlatêt 8.
Ainsi il y a la vision de l'ego, la séparée, lorsque tu te crois verticale et regardes devant toi. (1er état).
Et puis celle du divin 180 qui d'une pitchinette sur une extrémité de ton 8 provoque son Divin basculement de 180°. C'est la vision unie, celle à l'opposé de ce que tu croyais avant, celle de la Conscience, de l'Amour, de la Fraternité. Celle de Qui Tu Es. Toi. (2ème état).
Enfin il y a l'horizontale, l'intrusion dans la manifestation, la matière avec l'infini. Qui n'a pas d'origine ni de fin puisque là aussi, basculé de 180° il reprend apparemment la même position ∞. C'est l'infinité de la création et sa non fin (3ème état).
Avec à son opposé l'inexistence de la création et sa non conception. (4ème état).

₪ Le 0 c'est ton retour dans l'unité. Après ta transformation par le 8, par le basculement. Ton retour dans la matrice. La Source. Ce que l'on appelle la source. Source de toutes choses, et donc origine de l'Origine.
Ce zéro c'est ta réintégration dans l'unité. Dans ta verticalité. Tu te croyais esclave et tu te sais Angèle. Ça décoiffe ! D'un coup ! D'un seul... D'une Aile...

Il y a une infinité d'états dans le zéro.
Le Zéro c'est le nombre des nombres. D'où Tout procède et où Tout retournera. La Matrice Céleste. Comme le huit et le un, si tu le piques en son centre et le fait basculer il te montre les deux premiers états dans l'axe vertical. Mais il t'enseigne beaucoup plus. Tu vois qu'il n'est pas limité. Il peut girer comme il veut sur une circulaire de 360°. Et aussi en hologramme sphérique de 360°x360°. Qu'ainsi il est le nombre [Mêtre] le plus accompli. Il est d'Où tu es issue et à la fois part de ce que Tu Es. Tu y retournes en permanence, dans l'instantanéité de ce qui n'est pas à la source du Tout, l'incréé comme le créé.
Comme tu le vois, le zéro possède une infinité de stations d'équilibre. Il peut s'arrêter à n'importe lequel des degrés qu'il souhaite. Soit 360 plus toutes les subdivisions possibles et inimaginables. Et ce seulement dans le cercle. Mais il est beaucoup plus, puisque boule. Ainsi ces 360° se voient multipliés par eux même pour couvrir toute la surface de la sphère. Plus toutes les subdivisions possibles et inconcevables. Tu le vois ce simple chiffre, ce simple nombre est à lui tout seul un vertige. De l'infiniment incréé. Bô oui ?

Tous les nombres n'ont pas la souplesse décrite précédemment. Un 4 c'est rigide et anguleux, si tu le retournes il se casse la gueule… Le 3 inversé n'est plus trois, mais epsilon ε. En basculement le 5 et le 2 interchangent leurs états. L'un devient l'autre et vis versa. Idem pour le 6 et le 9.

Astrologiquement parlant, le 180 s'appelle l'opposition. C'est un aspect. Il y a pas mal d'aspects en astrologie, surtout si tu descends dans les aspects mineurs. Dans l'opposition, c'est celui qui est en face de toi dans le cercle, puis dans la sphère (le zodiaque stellaire), dans le temps et enfin hors du temps. Celui, celle qui a toutes les caractéristiques, qualités opposées aux tiennes. Celle, celui qui donc t'attire de tant de différences. Et t'en effraie aussi. Donc te repousse. Hérissée.
Ce qui peut être une vraie chance de complémentarité, est aussi un effroyable piège à la division, à l'affrontement, à l'opposition de c'luilà nonmépourkikispren ? Ça peut déraper vite et grave, et en général ça le fait, aidé par toutes les merdes à la division présentes sur la planète. Ça commence comme ça, et dans l'escalade, ça finit par faire péter toute une [planète].
Dans son aspect fondateur (de fondre. Se fondre, se diluer dans l'opposition et donc de fonder la solidité) l'opposition, le 180° (un tour du zodiaque fait 360°. La moitié, son opposition en fait donc 180°) est un vrai cadeau. Celui de refusionner avec nos extrêmes, de nous réconcilier, d'amplifier nos capacités par apprentissage de ceux de notre opposé. Réunification de l'être. Moi et l'opposé ne sont probablement que les deux faces d'un même monde, d'une même boule, d'une même cellule, d'une même conscience. D'un même Être. Voilà pourquoi l'opposé attire et fascine tant, de même qu'il repousse. Nous sommes bien dans le monde de la division.
C'est pourtant avec l'opposé que je me réconcilie. C'est avec lui que j'apprends de mes différences. C'est avec ce qu'il me renvoie de moi, miroir efficace que je m'apprends et me corrige. C'est dans la fusion de ce qu'il sait faire et pas moi que j'apprends à boucher mes trous. C'est par cette complémentarité que je me guéris. Et c'est vraiment mon autre partie en ce sens que tout ce que je ne sais pas faire, il sait le faire lui. Et que tout ce qu'il ne sait pas faire, moi je sais. Complémentarité d'époque. La parfaite.

À toi de ne pas laisser s'échapper cette grande chance lorsqu'elle passe à portée de ta vie. Ne te laisse pas dominer par tes conditionnements d'oppositions séparatifs, adamiques, et ouvre toi à l'union de la complémentarité lorsque ton oppo se pointe.