Une chose importante, négligée par touste (ou presque touste), sur le chemin du [Pranisme], c'est de marcher pieds nus sur la Terre Mère.
Nous respirons par deux polarités opposées et complémentaires.
1 - D'une part par l'extrémité supérieure du tube pranique (qui sort par la fontanelle) avec la polarité yang en liaison avec le ciel. Couplée avec l'extrémité inférieure du tube pranique (qui sort au milieu du périnée) de polarité yinn en liaison avec la terre Mère Gaia.
2 - D'autre part par la respiration [Yoguique] (abdomen, poitrine, clavicule) de polarité yang. Couplée avec la respiration cutanée (par la peau) de polarité yinn.
Dans le cutané, il est une peau particulièrement spéciale et importante, c'est la peau de la plante des pieds. En plus de respirer par les pieds, cette partie de notre anatomie nous connecte littéralement aux forces telluriques et gravitationnelles émises par la planète. C'est par la plante des pieds, l'incarnation sur la terre ferme, que tu captes les énergies du sol et t'en nourri.
En pratiquant la respiration-méditation de la [Merkabah], tu sais que ton canal pranique te traverse de part en part de la tête aux pieds, du ciel à la terre, et de la Terre au Ciel. Mère terre te nourrit en permanence. Non seulement par ta bouche, tes yeux, tes oreilles, ta peau, mais aussi par l'énergie tellurique et gravitationnelle que tu captes par la plante de tes pieds.
Toutes les civilisations indigènes marchaient, et marchent encore (pour certaines), pieds nus. Elles savaient, elles le vivaient, l'expérimentaient en ligne directe. Le blanc (le rosé en fait) a détruit tout cela avec l'évangélisation forcée, qui s'est manifestée par l'obligation de porter des vêtements là où c'est absurde d'en porter (dans les pays chauds) et des chaussures là où la douceur de mère terre ne demande qu'à être caressée, foulée, aimée.
Tout le monde connaît les histoires de ces enfants Amérindiens, Aborigènes ou autres "sauvages" capturés par les "rosés", forcés de porter des chaussures, eux qui marchaient et se connectaient à l'énergie tellurique par leurs pieds nus. Mais qui, souffrant le martyre, les enlevaient, se faisant de la sorte conspuer, punir, battre ou autres joyeusetés de l'éducation des rosés colonisateurs.
L'homme, à mis chemin entre le ciel et la terre, se nourrit des forces du Ciel et des forces de la Terre. Tu as besoin conjointement de l'énergie du ciel et de la terre pour te verticaliser dans ta vie et t'équilibrer. Comme tu as besoin d'un père et d'une mère pour nourrir les deux côtés de ta division, le yinn (féminin) et le yang (masculin). Ceci dans un monde à trois dimensions : notre monde, civilisations et époque.
Tes pieds "respirent", et tout comme tes mains ils ont besoin d'être en contact direct avec l'air et la terre, et non emprisonnés dans des inventions de "blancs".
Bien sur si tu vis au pôle nord, il est évident que les choses sont différentes et qu'une adaptation aux conditions climatiques est rendu nécessaire.
C'est difficile de vivre dans des pays où tu ne peux être nu du matin au soir. [Tu es né nu], parfait, et ensuite l'oubli t'a couvert de milliers de choses inutiles qui te sont pourtant devenues indispensables dans ce monde toutechnologik (peureux). Parallèlement tu as tout oublié (ou presque tout) du monde naturel de la Terre Mère (Madre Tierra).
© mortderire.com
Ainsi des vêtements, des slips, des [Soutiens-gorge] (qui ne soutiennent pas la gorge et te bousillent les seins), des cravates (typique des civilisations blanches des 20ème et 21ème siècles. Ça me fait toujours penser "à la corde au cou" ou l'auto-pendaison institutionnalisée ! Lol !), des colliers, des bagues, des pendentifs, des tatouages (bénis par ceux qui manœuvrent pour contrôler la population mondiale ! Une idée de génie : pense donc, c'est l'esclave lui-même qui paie pour se marquer du chiffre de la bête ! C'est comme si la vache esclave payait elle-même pour se faire tatouer ! C'est fort ça !), du rouge à lèvres, des fonds de teint, de sourcils et j't'pass... Des lunettes, des lentilles de contact, des chapeaux et autres casquettes, foulards, écharpes, et maintenant du gps, du portable, de l'ordi, de la carte bancaire, des pièces d'identité (et pas seulement une, mais 2, un jour 3, des fois que t'oublierais comment tu t'appelles ?…. Mais d'oublier Qui Tu Es, ça on s'en fout !), des godasses, des chaussettes (pour être bien sur que les velléités de respiration de tes pieds soient bien étouffées dans l'œuf), et le tout, bien sur, dans des tissus issus du pétrole qui te chargent d'ions positifs, te déchargeant par là même d'une partie de ton énergie !
Alléluia ! Bienvenue dans le monde réel, le monde rêvé, la maya cosmique, le cauchemar d'une civilisation technologique qui a perdu tous ses repères et toutes ses connexions avec sa mère, la Terre.
C'en est à tel point d'oubli, qu'en France par exemple, si tu te pointes pieds nus dans un magasin, un supermarché, un ciné, une banque, etc, tu te fais illico éjecter. Idem si tu te pointes le torse nu (pour les hommes naturellement. Je n'ose même pas te dire ce qui se passerait si c'était une femme ! Lol !). Pourtant mon torse est beau. Un tapis de poils grisonnant sur la poitrine, paraîtrait'il que ça plaît aux femmes, que ça les séduirait, c'est doux et moelleux. Mais circulez, interdiction de séduire ou de montrer du beau au naturel.
Je ne te raconte même pas ce que l'on te ferait si tu osais te pointer à poil au supermarché du coin ! Attentat à la pudeur, hop directos au poste ! À moins que tu sois un bébé qui vient de naître, puisque là tu apparais dans ta perfectude, en simple appareil, prêt à être conditionné et formaté par ton monde d'accueil.
En Australie par contre, c'est toi le French qui serait choqué (ça interpellerait tes croyances !) de voir tant de personnes déambuler dans les magasins, cinés ou restaus pieds nus, sans que personne ni trouve rien à redire. En Inde idem. Peut-être un jour les fabricants de chaussures intenteront'ils un procès à l'état Australien (et Indien) pour le manque à gagner que cette situation leur coûte ? Lol !
J'ai personnellement expérimenté le fait suivant. Lorsque les lieux ne s'y prêtent pas et que je porte des chaussures pendant plusieurs semaines consécutives, quelque part je "m'oublie", et conjointement j'oublie de respirer. Progressivement, insidieusement mon énergie faibli. Comme c'est progressif (comme la grenouille dans l'eau que l'on chauffe doucement et qui ne jump pas immédiatement hors de la casserole) je ne m'en aperçois pas, je m'habitue et baisse en énergie.
Lorsque de nouveau je peux me passer de godasses, il se passe un temps d'adaptation de quelques jours (au début tu marches difficilement, tu fais gaffe, tu as un peu mal, un rien te blesse) au bout duquel je retrouve ma "respiration" plantaire. Passé ce cap, tu ne peux plus remettre tes godasses sans te sentir emprisonné, asphyxié. C'est comme cela que tu réalises que tu t'es oublié et que tu t'es adapté à quelque chose de non naturel. De non nature. D'artificiel. D'empêcher d'être.
De mon point de vue, en plus des pistes cyclables, il devrait y avoir des pistes marchables. En plus des voies vertes, et en place des trottoirs bétonnés irrespirables, crasseux, pollués et polluant, il devrait y avoir les voies piétonnières vertes. Les voies "nus pieds".
Trottoirs de petits gazons anglais amoureusement entretenus par les municipalités et qui nous permettraient à tous de rester connectés avec l'énergie tellurique en permanence. Avec bien sûr accès à tous les bâtiments, publics ou non, pour nos pieds libérés de l'esclavagisme de la godasse. Chaque maison, chaque lieu, chaque bâtiment, chaque pont devrait avoir sa piste piétonne d'herbe douce et fraîche ou autres pavements naturels (sable fin, terre compactée exempte de caillasse, etc…). Plutôt que de faire porter à chacun et chacune (et leur vendre) des pompes, aménageons nos espaces piétonniers (tous espaces confondus, intérieur et extérieur. Public et privé) en pavements piétonnables pour "nupié".
Après les plages nudistes, voici venir les "trotoirnupié" ? (Je viens de déposer auprès de l'Inpic, une protection de création pour les termes " nupié" et "trotoirnupié", ainsi que ©, ®, ™, et je poursuivrais impitoyablement toute personne qui ne les respecterait pas à vivre tout le reste de sa vie avec des chaussures saucissonnées à ses pieds, nuit et jour. Chaussettes comprises ! Lol !).
Ainsi après les soutiens-gorge à la poubelle, retrouvons le sens des "pieds sur terre" et balançons à notre tour nos paquebots de pétrole ou de cuir à la benne, pour marcher sur la terre mère comme elle nous a vus naître : pieds nus.
En attendant cette révolution humaine, tu peux toi aussi jouer au terroriste de la godasse.
1 - En commençant par enlever toutes tes chaussettes afin de restituer à tes pieds leur liberté de respiration.
2 - Puis en bazardant tes pompes, retrouvant cette connexion avec le sol qui te soutient et te supporte. Qui t'aime en fait.
Pour t'entraîner tu peux commencer par le jardin de ta grand-mère ou de ta belle-mère (autres, si tu n'as pas ces deux modèles en stock) en piétinant amoureusement la douce herbe verdoyante qu'elle ne manque pas de laisser pousser à hauteur raisonnable avant d'éradiquer toute tige devenue trop grande avec cette superbe machine barbare, j'ai nommé la tondeuse.
Il sera bon aussi, si tu vis en pays de douces rosées matinales, d'aller piétonner dessus, pieds nus naturellement, ça fouette le sang et la circulation....
Respire, respire, sister….
3 - Enfin de refiler toutes tes godasses à Emmaüs, qui les refusera parce que plus personne ne portera ces instruments de torture d'un temps barbare révolu.
Alléluia !