Ils ont des joyaux sous les yeux, gratuits... c’est à dire Amoure...
Oups ! Tu ne savais pas.
Pardon.
Je t’explique : quand c’est gratuit, c’est Amoure. C’est Moi.
C’est Toi
Et c’est Gratuit.
Puisque c’est Amoure.

Donc, disais-je, "ils" ont des joyaux gratuits sous les yeux, et ils cherchent des stages et des mètres.
Les Mètres.
Tu sais ?
Sais-tu ce que sont les Maîtres ?

Les Maîtres sont une échelle de mesure. Comme les centi-maîtres. Ou les Mètres. Ils sont réellement pareils.
Les Maîtres servent à te mesurer sur une échelle de référence. À te localiser sur ton Chemin de Vie.
Mais ils ne sont qu’une échelle de mesure. Ils ne sont que la fonction et non l’essence ! Ne te trompe pas de film !!
L’Essence, c’est la Fraternité.

Ceux-ce que tu appelles les maîtres, ne sont pas cela. Ils sont Vous, Moi, Toi, Je, Tu, Nous, Ils, Tout. UN. Et le UN née qu’Amoure.

Ils sont le grand frère qui fait déjà de la moto, lorsque je suis encore assis sur le pot...
Ils sont cette maman qui se harnache dans son parapente et qui s’envoie immédiatement en l’air, pendant que je me casse la gueule sur mes premiers pas...
Ils sont cette sœurette aux ailes de lumière qui disparaît sous mes yeux, va se balader dans d’autres dimensions, et qui revient toute frétillante et souriante une demi-heure plus tard, lorsque moi je maîtrise à peine la sortie astrale...

Et puis, bien sûr, il y a les M'Êtres. Ceux là sont fort avancés. En rayonnement d'amour, ils ont vraiment énormément de vies d'avance. . Les Grands Frères des Grands Frères ? J'imagine qu'un Avatar est de la conscience d'un M'Être. Tu vois ? C'est comme je te le disais dans [Lémonouvo] (article en fin de page). Il y a un énorme enseignement dans les mots. Je t'en ai livré quelques uns dans l'article précité, mais tu en auras trouvé beaucoup d'autres si tu parcours les écrits du site. Tu extrais de ce simple mot "maître" tout un enseignement à lui tout seul. Les mots sont des frères, fort avancés parfois, qui te transmettent leurs enseignements sacrés. Comme je l'ai déjà écrit, ces mots là, te transmettent ["des essentiels fondamentaux présents à portée de regard et de cœur, en permanence, non vus, car trop visibles justement"]. Et c'est vrai. Les mots sont partout. Sur ta télé, à ton boulot, dans les revues que tu feuillètes, sur les murs des villes, sur ceux de la campagne, de chaque coté des routes, dans tes oreilles, sous tes yeux, dans ta tête, partout. Invisibles d'être trop visibles. Dans la forêt tu finis par ne plus voir les arbres. À la mer, la mère. Dans les mots, les enseignements sacrés.

Bon approfondissons donc un peu.
Dans cette unité de mesure, mètre, centimètre, anodine dans sa prononciation, tu as pourtant la notion de séparation qui caractérise le monde de la troisième dimension. Tu ne peux te mesurer que par apport à un autre. Forcement séparé. Ici le maître devient le gourou, celui devant lequel tu abandonnes toute souveraineté pour t'enrichir de tes nouvelles parures d'esclave. Tu crois que lui sait, et toi pas. Parce que tu cherches à l'extérieur de toi, donc en l'autre, des solutions à tes problèmes, tes soucis, tes pamour. Tu cherches dans le facile, style potion magique. Que je prends une pilule et hop je règle tous mes problèmes. Et une autre petite pilule et hop j'ascensionne. Et la dernière, allez pour le plaisir, d'une autre couleur aussi, et hop vl'a les vaisseaux de l'espace qui viennent me chercher. Et youpla boum ! Ce serait pas plus bô la vie comme ça ? Mais lui, ton mètre, ne sait pas, puisqu'il est divisé. Il profite juste de ton abandon de souveraineté sur toi même pour t'impressionner dans les domaines où il excelle. Et qui apparemment te manquent. Ton envie aveugle d'y croire te fait prendre la citrouille pour un carrosse, et yoplé tiboum ! Le voici transformé en maître. C'est sûr qu'il va te tirer de là...
C'est bien toi qui choisissant de voir ça comme ça, en gommant d'office tous les possibles signaux d'alarmes, en te posant dans ton état d'Adam, te crées ton monde parallèle perso, dans l'illusion de quelque chose qui n'existe pas vraiment, jusqu'à la chute, douloureuse, lorsque tu te réveilles.
Ce mètre là n'est qu'une échelle de mesure, puisque que pour mesurer il faut être séparé. Il te permet de te situer par apport à ton échelle de vie. Quesqu'il sait faire que tu ne sais faire ? Quesqu'il a que tu n'as pas ? Quesqu'il est que tu n'es pas ?

L'autre, le Maître est d'une autre trempe. Celui là est dans l'amour. Il est dans l'unité. Il n'est plus séparé. Il est baigné en permanence de sainte lumière. Il est centré dans son cœur. Il a depuis longtemps reconnecté son atome germe. N'étant plus séparé, il ne se mesure plus. Il n'est donc plus un mètre. Il est un Frère ! Les Frères ne se mesurent pas. Les Frères s'entraident et s'aiment. Que voudrais tu faire d'autre ? L'amour ne prend plaisir qu'à aimer. Ce qu'elle fait.
Ces Maîtres là ce sont les Frères Aînés. Lorsque tu as la chance d'en rencontrer un ou une, alors que oui, là, t'es béni. Et que c'est une belle perche que te tend ta vie. À saisir. Tu pourras ainsi vivre de viv voix et de viv cœur ce que c'est que d'incarner en permanence l'amour de Ce Qui Est. C'est une immense opportunité pour toi de faire des pas de géant dans la reconquête de Qui tu as oublié que tu étais.

Et puis la troisième lecture. L'enseignement sacré du frèrmo nous la dévoile ainsi : M'Être. C'est à dire Être M. Être Moi. Moi le Maître. Maître de moi. De Moi Même. De Toi aussi donc. Forcément puisque [Nous sommes tous frères !].
Le Maître est ainsi celui qui Est. Celui qui a tout fusionné de toutes ses parcelles éparpillées dans les univers, les vies, les dimensions. Les karmas. Les temps et espaces. Celui qui a relié tous ses corps, les a pacifiés, chéris, aimés, enfantés. Celui qui sème que fleurs de bonne heure. Se jump d'un temps à l'autre. D'un espace à l'autre, d'une dimension à une vingtaine suivantes. Allllez retttour dans le sens interbidimensionnel en repassant par la case départ autant de fois que Tu veux. Bandant Oui ?

Alors, je te le redemande maintenant : "Qui crois-tu que sont Ceux que tu voudras probablement continuer d’appeler des Mètres ?"